Un angelique orphelin echappe a toutes les sevices que les institutions charitables de l’Angleterre victorienne reservent a toutes les bambins abandonnes pour tomber dans les plus fangeux cloaques des bas-fonds londoniens.

Un angelique orphelin echappe a toutes les sevices que les institutions charitables de l’Angleterre victorienne reservent a toutes les bambins abandonnes pour tomber dans les plus fangeux cloaques des bas-fonds londoniens.

L’apprentissage precoce du vice et du crime l’fait de regle Afin de echapper a la misere et a la faim

On n’oubliera guere, apres des avoir croises, ni l’abominable Bumble ni le tenebreux Fagin.

Ne dans un hospice et orphelin car sa maman meurt en couches non sans avoir remis un bijou a la sage femme qui permettra au bebe d’etre reconnu via sa famille, Oliver Twist n’a que neuf ans lorsqu’il quitte sa nourrice qui lui infligeait des corrections et des privations de croquettes en guise d’excellents et loyaux services.

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Il va i?tre aussi place avec Mr Bumble, employe d’la municipalite en charge des orphelins tel apprenti chez Mr Sowerberry, l’entrepreneur de pompes funebres. Le croque-mort traite plutot bien le petit garcon mais son entourage, qui se mefie d’Oliver, profite de ses absences pour battre l’apprenti.

Affame et maltraite, il s’enfuit et gagne Londres apres des jours et des nuits de marche forcee. Il tombe alors entre les griffes du terrible Fagin, chef d’une bande de jeunes pickpockets qui a elu refuge au sein des bas-fonds d’une capitale…

Notre petit orphelin parviendra-t-il a echapper a son destin et a trouver sa place pour le monde ?

Oliver Twist est paru en 1838 sous sa forme d’un feuilleton criminel d’une noirceur concentree, l’integralite des avanies seront en effet promises au jeune Oliver qui possi?de passe les premieres annees de sa propre vie dans un climat d’une violence soutenue. Le quotidien chez sa nourrice, chez le premier employeur puis chez Fagin, reste celui d’un enfant martyr, toujours battu, toujours affame.

Pour autant le petit garcon reste d’une bonte et d’un angelisme sans faille, encaissant nos coups et les privations avec courage. Dans ma PAL depuis gui?re moins de 5 annees, c’est grace a ma Belette que je l’ai enfin sorti et heureusement qu’elle m’a accompagne dans cette lecture, sinon je ne sais pas si j’en serai venue a bout.

Il convient penser que votre recit est 1 veritable roman fleuve encore de 700 pages avec peu de rebondissements et de nombreux longueurs. Dommage car j’imagine qu’avec une intrigue resserree j’aurai adore ma lecture mais comme tout bon roman du 19e siecle paye a la ligne, rien ne nous ai epargne et Dickens qui signe ici une ?uvre sociologique en diable via le sort reserve aux orphelins d’la premiere moitie du 19e siecle et plus souvent a toutes les pauvres de une telle epoque, nous abreuve de digressions et remarques sans fin.

Celles et ceux qui avaient la malchance de naitre en couches les plus basses une population anglaise, connaissaient une vie de labeur ainsi que maltraitance, payes une misere et se voyant offrir une place a l’hospice, faute de mieux, des lieux ou la maltraitance est aussi a le paroxysme.

Alors naturellement, de votre point de vue la, votre roman reste tres opportun Afin de nos lecteurs ne sachant rien de votre epoque, pour les autres, le salut viendra des personnages et principalement du jeune Oliver qui n’est ici qu’un personnage parmi tant d’autres meme si c’est beaucoup evidemment lui le heros.

Charles Dickens use d’ironie, bon nombre meme, ce qui introduit une certaine distance avec Oliver, J’me suis sentie moins proche de lui, je ne suis pas arrivee a m’attacher a lui. Mes personnages qui l’entourent et les decors sont pittoresques, Oliver, lui, fait un peu pale figure. C’est dommage et je ne comprends jamais pourquoi l’auteur a agi ainsi.

Si j’avais adore Un chant de Noel, ce ne fut malheureusement jamais la situation d’Oliver Twist dont j’ai beaucoup adore les 300 premieres pages, apres j’ai trouve que l’auteur tournait en rond et que nos peripeties qu’il fera vivre a le petit heros sont trop repetitives Afin de qu’elles m’interessent jusqu’au bout.

D’autres ?uvres de cet auteur m’attendent au sein d’ ma PAL, je reviendrai donc a Charles Dickens dans l’avenir meme si ce titre m’a decue j’dois bien l’avouer.

Belette n’a gui?re plus apprecie que moi, je vous invite a lire son avis ici.