Test : Tinder, Happn, OKCupid, Pickable. dis-nous qui tu es, on te dira ou pecho

En 2018, pres d’un Francais via quatre s’etait deja inscrit concernant un blog de rencontre ou comptait le Realiser. Pourtant, pour nombre d’entre nous, la frequentation des applis se solde avec des echec cuisants, avec un retour a la case celibataire.

Konbini Techno te propose de degoter l’appli qui vous fera approcher l’homme ou l’actrice de ta vie (ou bien d’une nuit) en repondant a ces dix questions. Ta vie ne est plus jamais J’ai aussi !

1. OK, tu veux aller sur une appli de rencontre. Quelles sont tes motivations profondes ?

2. Dans quelle tranche d’age se deniche ton/ta partenaire ideal·e ?

3. Que recherches-tu ?

4. Le sexe concernant une appli de rencontre, c’est :

5. Es-tu pret·e a payer Afin de avoir acces a l’application ?

6. Qu’est-ce qui te fait craquer via 1 profil ?

7. J’ai pire experience que tu pourrais faire sur une appli

8. Pour ta description, que vas-tu ecrire ?

9. It’s a match ! Notre premier message ideal que tu recevrais de ton crush :

10. Ca recommence, l’heure de pallier rendez-vous est arrive… Celui-ci se deroule :

Notre mainstream

Que ce soit pour une relation a long terme ou juste Afin de vous amuser, les applications de rencontre tel Tinder, Happn ou Grindr sont faites Afin de vous. Vous aimez avoir La selection, ainsi, ca tombe beaucoup, l’avantage majeur de ces applications reste J’ai densite d’individus inscrites : en plein c?ur du 6e arrondissement ou a Villeneuve-les-Corbieres, il y aura forcement quelqu’un·e a swiper. Ces mastodontes, utilises par entre 28 et 40 % des 18-25 ans, sont plutot tournes par les « jeunes ». Et pour cause, votre sont ceux et celles ayant le plus de chances de continuer a frequenter l’application i  l’occasion de leur life amoureuse… ainsi que devenir « dependants » de celle-ci. Est-ce que ca marche ? Ardu de generaliser, mais ces applications sont davantage faites Afin de trouver une relation courte que l’amour avec 1 grand A. Selon une etude de l’IFOP, « pres des deux tiers des Francais ayant deja trouve un partenaire via un site admettent y avoir deja eu ‘une aventure sans lendemain’ (62 %) et plus de la moitie une experience sexuelle avec quelqu’un sans chercher ensuite a sa revoir (55 %) ». Meme si l’amour existe, sa quete ressemble a toutes les bacs a 1 € des fripes du Marais : faut fouiller… et s’accrocher. I  propos des applications des plus populaires, la concurrence reste rude, cela pourra refroidir nos ames sensibles. Dans votre sondage YouGov pour Once, nous apprenions que 50 % des utilisateurs d’applications de rencontre passent moins de trente secondes a evaluer le profil propose, et 67 % d’entre eux swipent jusqu’a quatre heures par semaine… Rien ne sert de lire plethore d’articles sur et cela boostera le plus la profil Tinder : une note de desirabilite le fera pour nous (ou jamais). Alors oui, par exemple se tourner vers le « slow-dating » comme chez Once, ou encore laisser ces dames engager la conversation comme dans Bumble ? Ne voulez jamais, c’est deja mainstream et souvent les celibataires paraissent inscrits sur diverses applis a J’ai fois.

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L’atypique

Vous avez peut-etre passe le cap des 26 annees, vous avez des conges payes pour aller faire « un petit circuit des vins en Ardeche » et vous avez un brin de bouteille en ce qui concerne des relations amoureuses. Vous savez ce que vous ne voulez pas, ainsi, surtout votre que vous recherchez : de la qualite, d’la discussion, des atomes crochus ! Rien d’etonnant a voir que 29 % des 26-30 ans et 13 % des 31-35 ans sont inscrit·e·s sur des applications de rencontre, la fin en vingtaine correspondant en general au debut d’une pression societale et familiale pour l’elaboration d’une vie de famille. Aucun panique, un grand nombre d’applications plus ou moins specialisees et originales paraissent la pour vous aider a accoster la futur +1 au mariage de votre cousine Chloe. Que vous preferiez prendre votre type de relation en amont (Fruitz), que vous detestiez utiliser votre photo (Pickable), que vous soyez super precis·e concernant votre que vous recherchez (OkCupid), les applications dites « atypiques » ou « a concept » sont legion sur le Web. Cela comprend principalement l’integralite des applications destinees a explorer une caracteristique ou un interet specifique, que celui-ci soit religieux, politique ou d’ordre musical ou culinaire. Du cote LGBTQ+, denichez egalement HER, une des seules applications pour femmes lesbiennes et bisexuelles ou vous etes sures de ne point tomber sur de propositions malaisantes de plan a 3. On cause ici d’applications dites de « niche », car destinees a receler des ressources rares… Mais est-ce signe durable ? Dans une enquete recente de l’IFOP, nous pouvions lire que les applications de rencontre s’etaient democratisees : « au cadre d’un mouvement de segmentation du marche du dating, votre discours marketing en est plutot la consequence : la popularisation des sites generalistes ‘grand public’ ayant favorise la multiplication de blogs de ‘niche’ constituant Afin de des Francais a vraiment capital economique ou culturel des enclaves recreant des nouvelles formes d’’entre soi’». Le risque de ces applications trop atypiques est alors celui de l’entre soi… et parfois du rejet de l’autre.

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Le old school

Vous avez deja apporte, niveau amour. Vous avez deja investi dans une excellente maison en Sardaigne, les enfants ne vous font pas peur et votre chat Gustave cherche a se blottir concernant une autre paire de genoux que les votres ? Rien encore logique que d’emplyer des applications de rencontre « serieuses », a l’image de l’historique Meetic, ou de chatrandom web l’ensemble de ses petites s?urs Disons Demain, Elite Rencontre mais aussi Edarling. Ici, peu de risques de propositions indecentes en langage SMS passe 23h, mais plutot une moyenne d’age entre 40 et 50 ans. Pour nos plus aventureux/aventureuses d’entre vous, Gleeden propose des rencontres extraconjugales dans le but de pimenter la vie de couple : le website revendique environ 6 millions d’inscrits. Que vous ayez une vieille ame ou que vous ayez passe le cap des 50 ans, faire des rencontres sur Internet est en mesure de s’averer etre votre parcours du combattant. Apres 36 annees, le taux d’usage des applications de rencontre tombe en dessous des 10 %, accentuant les ecarts entre les hommes et les femmes en matiere de rencontres. Une enquete de l’IFOP en 2018 revelait la « plus grande difficulte des hommes heterosexuels a y rencontrer quelqu’un in real life (seuls 48 % d’entre eux y paraissent parvenus), en particulier lorsqu’ils ont environ 50 ans (43 %), qu’ils resident en milieu rural (41 %) et qu’ils affichent 1 faible capital culturel (39 % des non-bacheliers) ou une position en bas de l’echelle sociale : seuls 51 % des employes et ouvriers ont deja obtenus une date, contre 57 % des hommes CSP + ». Marie Bergstrom, chercheuse au sein de l’Institut national d’etudes demographiques, indiquait dans une etude d’octobre 2018 que les plus de 60 ans qui contactent des femmes sur Meetic ont en moyenne 7 annees De surcroit qu’elles. Du cote des femmes, passee la quarantaine, celles-ci sont plus enclines a demander l’aide des celibataires plus jeunes.